La direction d'Astek et M. Platano auront pourtant tout essayé pour intimider les salariés qui manifestaient à Astek Sud-Est en 2013 : menaces de licenciement, procès, appel...
Mais la justice a enfin tranché : 3 ans après les faits, les dirigeants d'Astek ont définitivement échoué à essayer de faire valoir que manifester pouvait être un délit
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Astek_relaxe_liberte_expression_repression_syndicale_20161108.pdf