SUD Astek, section syndicale Solidaires Informatique chez Groupe Astek

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Tag - politiques publiques

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lundi 17 mars 2014

18 MARS, TOUS ENSEMBLE !

Non au "Pacte de Responsabilité" !

Ce nouveau recul social, mis en place par un accord signé par CFDT, CFTC et CFE-CGC, va encore dégrader la situation d'un très grand nombre de travailleurs et travailleuses sur tout le territoire, dans les secteurs public et privé.

  • baisse brutale de notre salaire différé
  • remise en cause du financement de la Sécurité Sociale, qui serait transféré des cotisations vers l'impôt
  • argumentaire toujours basé sur le "coût du travail" et jamais sur celui du capital, alors que nos plus grosses entreprises bâtent encore des records de dividendes cette année...

Cette nouvelle cure d’austérité majeure pour des pans entiers des services publics et de la Sécurité Sociale ne résoudra rien, bien au contraire.

Seule la mobilisation des salariés, dans la grève interprofessionnelle unissant le public et le privé, peut faire reculer ces projets et imposer des augmentations de salaire pour l’ensemble des salariés.

TOUS ENSEMBLE, EN GREVE ET EN MANIFESTATION LE 18 MARS !
RDV A 10H, GARE THIERS A NICE
(concernant le 06).

Appel commun de la CGT et Solidaires Informatique dans nombre de SSII :
Tous ensemble le 18 mars ! (PDF, 1p, 760 Ko)

samedi 8 septembre 2012

Non à l’austérité permanente ! Refusons le Pacte budgétaire, ouvrons le débat en Europe !

Non à l’austérité permanente
Refusons le Pacte budgétaire, ouvrons le débat en Europe !

Le président de la République veut faire ratifier au plus vite par le Parlement le Traité pour la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG) de la zone euro, plus connu sous l’intitulé de « Pacte budgétaire », tel qu’il a été signé par Nicolas Sarkozy le 25 mars dernier. (...)

Ce Pacte budgétaire aggrave les politiques néolibérales prônées depuis des années et qui ont mené aux problèmes actuels de la zone euro. Il représente d’abord une absurdité économique. En imposant que le « déficit structurel » d’un État soit inférieur à 0,5 % (...)

Pour créer ce débat démocratique, nous appelons à renforcer les collectifs locaux déjà existants - notamment ceux pour l’audit citoyen de la dette publique -, à en créer de nouveaux le cas échéant; nous organiserons ensemble une série de débats publics dans toute la France ; nous nous adresserons et inviterons les citoyens à s'adresser à chaque député et sénateur de la majorité parlementaire, et nous organiserons des manifestations dont une grande manifestation unitaire à Paris le dimanche 30 septembre. Un comité d’organisation se met immédiatement en place pour assurer le succès de ces initiatives.

Lire le texte de l'appel unitaire complet (1 page, 400 Ko).

Premiers signataires : AC !, Attac, CADTM, Cedetim-IPAM, Les Économistes Atterrés, Front de gauche, Les Alternatifs, M'PEP, Marches Européennes, SNESUP-FSU, Sud BPCE, Union syndicale Solidaires...

jeudi 6 septembre 2012

Un autre changement est possible !

Emplois, salaires, retraites, santé, droits nouveaux, partage des richesses… c'est URGENT !

Le rejet de Sarkozy et de ses ministres a conduit à un changement de gouvernement ; mais en dehors de certains discours et de quelques mesures symboliques, il n'y a pas de rupture dans la politique mise en oeuvre :

L'absence de réévaluation conséquente du salaire minimum et des minimas sociaux avait déjà confirmé cette orientation qui ne répond pas aux urgences sociales et ne réduit pas les inégalités.

La création d'emplois précaires, notamment dans l'Éducation nationale, là où il y aurait besoin d'emplois statutaires et stables, montre quel emploi d'avenir propose ce gouvernement : des contrats à durée déterminée sans réelle formation ni perspective de qualification. Si on excepte cette fausse solution, les effectifs de la Fonction publique et des entreprises publiques vont encore diminuer : là où il faudrait reconstruire les services publics, le gouvernement continue de supprimer des emplois, aggravant le chômage des jeunes. Il recrute ensuite, temporairement, d'autres jeunes qu'il précarise dans les administrations et les services publics !

Les plans de licenciements, les fermetures d'entreprises (en partie repoussés par les patrons pour des raisons électorales) se multiplient : la compassion ministérielle n'est pas la réponse dont ont besoin les salarié-e-s, notamment les dizaines de milliers licencié-e-s ; il faut des actes, comme ponctionner les actionnaires qui se sont enrichis durant des années en profitant du travail de celles et ceux aujourd'hui menacé-e-s de licenciement, et imposer le droit de véto des représentant-e-s du personnel sur les licenciements collectifs.


  • Emploi, rémunération, santé, retraite, ... il y a urgence !
  • Des millions de chômeurs et chômeuses, de plus en plus de salarié-e-s, de jeunes et de retraité-e-s en situation de pauvreté : des mesures d’urgence doivent être prises
  • Suspension des plans de licenciements, droit de véto pour les Comités d’Entreprise, extension de l’obligation de CE aux entreprises de moins de 50 salarié-e-s. Arrêt des suppressions d’emplois dans la Fonction publique et les entreprises publiques.
  • Augmentation du SMIC et des minimas sociaux (1 700 euros), des allocations chômage et pensions de retraite.
  • Droit à la santé pour tou-te-s, par des mesures immédiates
  • Annulation des contre-réformes sur les retraites.
  • Adoption d'un plan de renforcement et d'élargissement des services publics.
  • Annulation de tous les cadeaux fiscaux faits aux plus riches et de l’alourdissement des impôts les plus injustes (TVA)
  • Dénonciation des traités européens
  • Abrogation des lois antigrève.

Des actions, souvent unitaires, sont annoncées dans plusieurs secteurs professionnels, d’autres se décident dans les prochains jours (santé, cheminot-e-s, automobile, retraité-e-s, centres d’appel, finances publiques, industrie, etc.). C’est un appui pour construire une action nationale interprofessionnelle, qui demeure indispensable. C’est la proposition que l’Union syndicale Solidaires vient de faire, de nouveau, aux autres syndicats.

Télécharger la déclaration du Bureau national de l’Union syndicale Solidaires (2 pages, 80Ko).

dimanche 22 avril 2012

1er mai et second tour !

1er mai et second tour des élections !

Comme avant le premier tour, l’Union syndicale Solidaires réaffirme ses exigences en matière d’emploi, de salaires, de fiscalité, de services publics, de protection sociale, de luttes contre les discriminations ou de refondation de l’Union européenne…

Il s’agit bien de réorienter l’économie et les politiques publiques vers une autre répartition des richesses permettant la satisfaction des besoins fondamentaux de la population, tout en étant soucieuse des impératifs écologiques. Il est temps de changer radicalement d’orientations et de mettre en œuvre une politique qui rompe avec la logique du profit et des marchés financiers.

L’Union syndicale Solidaires constate qu’il est temps de tourner la page de Nicolas Sarkozy au vu de son bilan et de ce qu’il propose dans cette campagne électorale. L’Union syndicale Solidaires exigera du nouveau gouvernement des mesures ambitieuses pour contrer le poids de la finance répondre aux urgences sociales.

Dans ces conditions, l’Union syndicale Solidaires appelle les salarié-es, chômeuses, chômeurs et retraité-es à être présents très massivement dans la rue le 1er mai 2012 pour exprimer les revendications, dire le rejet du racisme et de toutes les exclusions, et manifester la solidarité internationale avec les peuples du monde entier.

Voir la version complète : Après le premier tour de l’élection présidentielle (PDF, 1 page, 97 Ko)